L'Elysée a annoncé mercredi 11 juillet avoir fait l'objet d'une importante attaque informatique au cours des derniers mois, avant l'arrivée de François Hollande, sans confirmer une seconde attaque à quelques jours de la cérémonie
d'investiture évoquée par Le Télégramme de
Brest.
"Il y a eu une grosse attaque, mais bien avant qu'on arrive. (...) A priori cela remonte (...) en tous cas à plusieurs mois", a-t-on indiqué à l'Elysée. "Les services concernés ont géré" et "on n'a pas eu de soucis depuis", a-t-on souligné de même source.
Selon Le Télégramme de Brest de mercredi, "deux cyberattaques majeures qui n'ont pas été rendues publiques" ont visé la présidence ces derniers mois. La dernière se serait produite "entre le second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai, et la prise de fonction de François Hollande, le 15 mai", précise le quotidien.
Début 2011, le ministère des finances avait déjà fait l'objet d'une attaque informatique spectaculaire visant les dossiers sensibles de la présidence française du G20. D'autres attaques majeures de ce type ont eu lieu dans plusieurs pays étrangers, notamment en Estonie, aux Etats-Unis et au Canada.
"IL EST PRÉFÉRABLE DE LE FAIRE SAVOIR"
"Lorsqu'un organisme majeur est attaqué, il est préférable de le faire savoir que denier la vérité", a souligné pour sa part à l'AFP l'ancien ministre Jean-Marie Bockel, chargé d'un rapport parlementaire sur la cyberdéfense, qu'il présentera au Sénat le 18 juillet.
"C'est aussi l'occasion de faire passer des messages, pour montrer la capacité de résilience que l'on a", a estimé l'ancien secrétaire d'Etat à la Défense.
d'investiture évoquée par Le Télégramme de
Brest.
"Il y a eu une grosse attaque, mais bien avant qu'on arrive. (...) A priori cela remonte (...) en tous cas à plusieurs mois", a-t-on indiqué à l'Elysée. "Les services concernés ont géré" et "on n'a pas eu de soucis depuis", a-t-on souligné de même source.
Selon Le Télégramme de Brest de mercredi, "deux cyberattaques majeures qui n'ont pas été rendues publiques" ont visé la présidence ces derniers mois. La dernière se serait produite "entre le second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai, et la prise de fonction de François Hollande, le 15 mai", précise le quotidien.
Début 2011, le ministère des finances avait déjà fait l'objet d'une attaque informatique spectaculaire visant les dossiers sensibles de la présidence française du G20. D'autres attaques majeures de ce type ont eu lieu dans plusieurs pays étrangers, notamment en Estonie, aux Etats-Unis et au Canada.
"IL EST PRÉFÉRABLE DE LE FAIRE SAVOIR"
"Lorsqu'un organisme majeur est attaqué, il est préférable de le faire savoir que denier la vérité", a souligné pour sa part à l'AFP l'ancien ministre Jean-Marie Bockel, chargé d'un rapport parlementaire sur la cyberdéfense, qu'il présentera au Sénat le 18 juillet.
"C'est aussi l'occasion de faire passer des messages, pour montrer la capacité de résilience que l'on a", a estimé l'ancien secrétaire d'Etat à la Défense.